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Minister Rudy Hériveaux refers to the Opposition as Cockroaches

Minister Rudy Hériveaux refers to the Opposition as Cockroaches

If there is one word that the Communication Minister, Mr. Rudy Hériveaux, wishes to take back if he could would be his word "Cafards" eloquently put in his now famous article "Le Syndrome du Cafard".

This editorial was published on "Le Nouveliste" newspaper in November, 2014. Cafards translated into English means cockroaches. In his article, the most controversial and damaging sentence was: "....Emportés dans une espèce de frénésie destructrice, ces cafards s'agitent dans un folklore dégoutant dans les rues pour tenter d'assauter le pouvoir....." As it was clearly noted by Marie Lucie Bonhomme during her interview with Minister Heriveaux this was a direct reference to the opposition in stating that "These Cockroaches.........

Here is a copy of the entire article by Communication Minister Rudy Hériveaux:

" Engagé dans une dynamique remarquable de transformation du paysage socio-économique, le Gouvernement Martelly-Lamothe a doté le pays de nombreuses infrastructures routières, scolaires, hospitalières sportives, portuaires et aéroportuaires. Cette performance n'a pas laissé indifférente nos compatriotes. L'admiration et le respect qu'ils expriment devant ces multiples réalisations à travers les émissions de libre tribune et sur les réseaux sociaux en témoignent grandement.

D'un autre côté, le pragmatisme et le dynamisme de l'équipe au pouvoir représentent un véritable cauchemar pour la vieille garde de cette opposition sclérosée, prisonnière de ce réflexe malsain qui consiste à nager dans les eaux troubles de la déstabilisation.

En effet, une espèce d'hystérie collective s'est emparé des forces anti-démocratiques devant les performances du Gouvernement Lamothe.

On assiste aujourd'hui à un cirque lamentable où la folie du pouvoir conjuguée à la phobie des élections, génèrent les comportements les plus irrationnels et les plus dégoutants.

La question cruciale des amendements à la loi électorale que refuse de voter systématiquement une frange rebelle du Sénat de la République, est étrangement banalisée par une faune politique qui, paradoxalement et bruyamment, réclamait l'organisation des élections.

Depuis, leur discours s'est radicalisé. Ils ont décidé d'étaler au grand jour leurs sordides machinations. Vecteurs chroniques d'une instabilité endémique, ils renouent avec leur exercice favori :S'abrutir dans l'engrenage infernal du "Rache Manyok".

Emportés dans une espèce de frénésie destructrice, ces cafards s'agitent dans un folklore dégoutant dans les rues pour tenter d'assauter le pouvoir. Un triste spectacle quasi quotidien, symptomatique de la bêtise d'une certaine classe politique rétrograde, figée dans l'archaisme et les vieilles pratiques démagogiques qui ont fait tant de torts à notre pays.

Cet acharnement pathétique à vouloir par tous les moyens court-circuiter les règles du jeu démocratique, illustre parfaitement leur mépris pour le peuple qui dans toute démocratie est toujours source organique et fonctionnelle du pouvoir politique.

Catalyseurs d'un débat intense dans les médias haïtiens sur l' 'utilité' et la 'nécessité' d'un chaos politique, ces adeptes de la politique du pire rejettent tout appel au dialogue et refusent tout compromis.

Incapables de formuler les éléments d'une réflexion sérieuse pour la conduite du destin national comme l'a confirmé l'un de leurs représentants sur les ondes de Vision 2000 à l'émission 'invité du jour' de Valéry Numa, ils restent attachés à une tactique médiocre de chantage, de surenchère en piétinant de manière indécente les principes cardinaux de l'Etat de Droit et les valeurs républicaines.

Dans cette atmosphère polluée, le Président de la République a voulu éviter avec humilité et intelligence les effets pervers d'une crise politique dommageable. De multiples concessions ont été faites jusqu'ici par le chef de l'Etat. les discussions du 24 décembre 2012 qui avaient conduit à la mise sur pied du CTCEP avec la médiation de Religion pour la paix, l'Accord d'El Rancho, Best Western, les multiples changements opérés au niveau du CEP, l'intronisation à la tête de cette institution d'un représentant du pouvoir Législatif, bref une louable ouverture d'esprit et une volonté inébranlable de préserver la Paix, la stabilité et l'harmonie au sein de la grande famille haïtienne.

Une énième invitation a été envoyée aux partis politiques de l'opposition radicale. Mais derrière cette carapace rebelle qui les rend imperméables à toute idée de conciliation, ces opposants farouches et aveugles préfèrent se retrancher derrière les murs de la démagogie et de la médiocrité.

Ainsi ils ont choisi de se lancer dans cette aventure au bout de laquelle les attend une cruelle désillusion...

Haïti ne reviendra pas en arrière. Tous les acteurs politiques doivent définitivement divorcer d'avec ces pratiques délétères pour embrasser la modernité politique. Notre histoire est traversée par des luttes fratricides, stupides, inutiles et malsaines. Nous avons le devoir de tirer les enseignements nécessaires de ce passé tourmenté pour en ouvrir une nouvelle page.

Ce nouveau chapitre s'est ouvert avec le Président Martelly et le Premier Ministre Lamothe au timon des affaires. En dépit des multiples obstacles dressés par le groupe des 6 et l'aile dure de l'opposition, le Président Martelly poursuivra les consultations politiques dans la perspective des prochaines joutes électorales en Haïti.

Dans ce climat de tensions et de malaises palpables, le Chef de l'État fait preuve d'un leadership éclairé et remarquable. Viscéralement attaché à la paix, la stabilité et aux principes de la bonne gouvernance, il mettra tout en Å"uvre pour la tenue des élections, passage obligé pour le renforcement des institutions républicaines et la poursuite du redressement socio-économique d'Haïti."

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